A petits pas, des mots
jeudi 17 février 2011
dimanche 6 février 2011
Cette façon d'ironiser sur tout est pénible. Comment le lui faire passer ?
Pour l'instant, je fais la tête... quand il fait ses blagues. En fait, ça l'ennuie de ser endre compte que je ne ris pas. Mais le problème, c'est que même si je sais que ça n'est pas méchant, c'est suffisamment désagréable pour me lasser de lui, vraiment.
Pour l'instant, je fais la tête... quand il fait ses blagues. En fait, ça l'ennuie de ser endre compte que je ne ris pas. Mais le problème, c'est que même si je sais que ça n'est pas méchant, c'est suffisamment désagréable pour me lasser de lui, vraiment.
vendredi 21 janvier 2011
Pour l'une de mes amies, avant, il était surprenant que je fasse autant d'effort avec ma belle famille. En effet, celle ci était fort désagréable avec moi et selon elle, j'aurais du couper ou me facher. Ce que je n'ai pas fait.
AU fil des années je constate non sans plaisir le résultat obtenu, même si le prix est un peu amer. Je ne suis plus la petite jeune femme godiche que j'ai eu la bêtise d'être, mais mon attitude envers eux est devenue plus distante et plus sûre. Cette année, je n'ai pas poussé pour aller passer Noël dans cette famille. L'été prochain, je ne vais pas trop me soucier de planifier les vacances et laisser mon mari nous concocter un programme... Je suis curieuse de voir ce qu'il trovuera.
AU fil des années je constate non sans plaisir le résultat obtenu, même si le prix est un peu amer. Je ne suis plus la petite jeune femme godiche que j'ai eu la bêtise d'être, mais mon attitude envers eux est devenue plus distante et plus sûre. Cette année, je n'ai pas poussé pour aller passer Noël dans cette famille. L'été prochain, je ne vais pas trop me soucier de planifier les vacances et laisser mon mari nous concocter un programme... Je suis curieuse de voir ce qu'il trovuera.
dimanche 5 décembre 2010
mercredi 1 décembre 2010
Je suis parfois surprise des relations que je peux avoir avec mon mari. Avant, j'aurais voulu que nous fassions tout ensemble, et je me désolais et lui reprochais ce que nous ne pouvions pas faire ensemble. Lui aussi, d'ailleurs, mais nous n'avions pas forcément envie de faire ensemble les mêmes choses.
Au fil du temps, je fais pas mal de choses seule. Parfois, mon mari me le reproche, car il voit que cela ne me gêne pas. Il me le reproche pour me le reprocher, parce qu'il lui est désagréable de constater que je suis indépendante.
Or, je suis très indépendante et j'ai repris l'habitude de cette indépendance il y a peu.
L'un des éléments de cela est curieux. Je n'aime pas la télé, je ne l'ai jamais aimé. mais nous avons pris l'habitude de la regarder le soir, ce que je n'aime pas, mais c'est un moyen d'être ensemble. Or, quand il n'y a pas de films à regarder, mon mari annonce qu'il va se coucher, ce qui m'agace et agace aussi les filles. Je me mets donc en quête d'un film pour lui. Parfois, c'est lui qui cherche mais c'est rare. On regarde des films qui me plaisent mais il s'endort devant, c'est agaçant.
J'ai décidé de ne faire aucun effort : passé les infos, quand aucun film n'émerge du lot, je soupire et lui demande ce qu'on fait. Il me répond je ne sais pas, et on ne fait rien. Comme je n'aime pas regarder la télé, ile st paradoxal que ce soit moi qui me soucie de trouver des films à regarder. Il va se coucher et lire au lit, et je vais faire autre chose.
Cela ne me gêne pas : quand je suis seule, je ne regarde jamais la télé ; quand nous sommes ensemble, je me reproche ce temps à s'abrutir. Mais je me suis fait une obligation de chercher un film à regarder - je ne sais, au fond, même pas pourquoi : parce qu'il me semblait que c'était agréable de faire ça le soir puisqu'au fond on ne fait pas grand chose à deux. Je me suis donc fait une obligation de faire quelque chose que je n'aimais pas. Ce qui est aberrant.
De son côté, il est un peu triste qu'il aille lire sans plus de façon. Il lit, puis dort. C'est tout. L'autre jour, noyus avons parlé : enf ait j'ai parlé et il a écouté.
Au fil du temps, je fais pas mal de choses seule. Parfois, mon mari me le reproche, car il voit que cela ne me gêne pas. Il me le reproche pour me le reprocher, parce qu'il lui est désagréable de constater que je suis indépendante.
Or, je suis très indépendante et j'ai repris l'habitude de cette indépendance il y a peu.
L'un des éléments de cela est curieux. Je n'aime pas la télé, je ne l'ai jamais aimé. mais nous avons pris l'habitude de la regarder le soir, ce que je n'aime pas, mais c'est un moyen d'être ensemble. Or, quand il n'y a pas de films à regarder, mon mari annonce qu'il va se coucher, ce qui m'agace et agace aussi les filles. Je me mets donc en quête d'un film pour lui. Parfois, c'est lui qui cherche mais c'est rare. On regarde des films qui me plaisent mais il s'endort devant, c'est agaçant.
J'ai décidé de ne faire aucun effort : passé les infos, quand aucun film n'émerge du lot, je soupire et lui demande ce qu'on fait. Il me répond je ne sais pas, et on ne fait rien. Comme je n'aime pas regarder la télé, ile st paradoxal que ce soit moi qui me soucie de trouver des films à regarder. Il va se coucher et lire au lit, et je vais faire autre chose.
Cela ne me gêne pas : quand je suis seule, je ne regarde jamais la télé ; quand nous sommes ensemble, je me reproche ce temps à s'abrutir. Mais je me suis fait une obligation de chercher un film à regarder - je ne sais, au fond, même pas pourquoi : parce qu'il me semblait que c'était agréable de faire ça le soir puisqu'au fond on ne fait pas grand chose à deux. Je me suis donc fait une obligation de faire quelque chose que je n'aimais pas. Ce qui est aberrant.
De son côté, il est un peu triste qu'il aille lire sans plus de façon. Il lit, puis dort. C'est tout. L'autre jour, noyus avons parlé : enf ait j'ai parlé et il a écouté.
dimanche 28 novembre 2010
Ce qui s'est passé, c'est quelque chose qui arrive souvent : Mon mari s'est moqué de moi car je ne voulais pas aller au ski ou en faire et c'était vrai. Il a a dit, mais toujours sur le mode de la plaisanterie, que je ne voudrais jamais aller en vacances au ski. Les enfants se sont habituées à l'entendre dire ça. Du coup, elles me l'ont reprochées, pas vraiment sérieusement, mais reprochées : De toute façon on ne pourra jamais aller au ski : j'ai été la seule responsable de la chose.
Pendant ce temps, l'idée d'aller au ski faisait son chemin en moi et j'ai commencé à en aprler, et nous avons décidé d'y aller.
Quand on en a parlé, il me semblait évident que nous irions faire du ski, mais peu è peu s'est imposé dans les dialogues l'idée de faire un séjour à la neige mais avec peu de ski. J'ai exprimé ma suprise à mon mari : je croyais que tu voulais faire du ski, lui ai-je dit. Il a prétendu que pas du tout, il voulait passer des vacances à la neige, mais il n'y avait pas que le ski. Alors je n'ai pas insisté, mais j'ai vraiment eu l'impression que je m'étais un peu fait avoir : il m'avait fait passer pour une personne qui refusait le ski, j'avais évolué et enf ait c'était lui qui ne voulait pas en faire. par la suite j'ai utilisé cette méthode : accepter plutôt que refuser. Il me propose souvent des choses en s'attendant à ce que je les refuse. A l'inverse, je propose beaucoup de choses. J'ai décidé de ne presque plus rien proposer. mais quand il propose lui, j'accepte. Le résultat ? Il fait attention à ce qu'il me propose.
Pendant ce temps, l'idée d'aller au ski faisait son chemin en moi et j'ai commencé à en aprler, et nous avons décidé d'y aller.
Quand on en a parlé, il me semblait évident que nous irions faire du ski, mais peu è peu s'est imposé dans les dialogues l'idée de faire un séjour à la neige mais avec peu de ski. J'ai exprimé ma suprise à mon mari : je croyais que tu voulais faire du ski, lui ai-je dit. Il a prétendu que pas du tout, il voulait passer des vacances à la neige, mais il n'y avait pas que le ski. Alors je n'ai pas insisté, mais j'ai vraiment eu l'impression que je m'étais un peu fait avoir : il m'avait fait passer pour une personne qui refusait le ski, j'avais évolué et enf ait c'était lui qui ne voulait pas en faire. par la suite j'ai utilisé cette méthode : accepter plutôt que refuser. Il me propose souvent des choses en s'attendant à ce que je les refuse. A l'inverse, je propose beaucoup de choses. J'ai décidé de ne presque plus rien proposer. mais quand il propose lui, j'accepte. Le résultat ? Il fait attention à ce qu'il me propose.
jeudi 18 novembre 2010
Sortie en ville chez des amis.
Etrange car la femme est une amie de fac, pas très intime mais nous avons gardé le contact ; étrange car au fond nos deux maris se sont étonnamment bien entendus.
Bel et grand appartement, belle vue, soir qui tombe, apéritif, tout parfait, conversation comme il faut : et pourtant quand nous rentrons tout ce à quoi je pense c'est à un jeu, une comédie, peut-être une farce.
J'ai passé un bon moment, comme il est agréable de prendre un bain tiède : qu'est-ce que j'en retire ?
Je ne sais.
Etrange car la femme est une amie de fac, pas très intime mais nous avons gardé le contact ; étrange car au fond nos deux maris se sont étonnamment bien entendus.
Bel et grand appartement, belle vue, soir qui tombe, apéritif, tout parfait, conversation comme il faut : et pourtant quand nous rentrons tout ce à quoi je pense c'est à un jeu, une comédie, peut-être une farce.
J'ai passé un bon moment, comme il est agréable de prendre un bain tiède : qu'est-ce que j'en retire ?
Je ne sais.
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